Un autre toi-même
Cœurs
dans l’attente de rêves durables,
Soupirent
en silence dans l’insaisissable,
Remontent
jusqu’à la source des larmes,
La
pureté de la douleur qui nous désarme.
Ames
nues, en détresse, gonflées de sang,
Eclatent
l’unique grand cri de l’instant,
Silencieuses
la nuit, gémissantes le jour,
Pleurent
de chagrin libérant ainsi l’Amour.
Pensées
immortelles aux couleurs du temps,
Affrontent
sans trêve l’océan des tourments,
Libèrent
de leurs mémoires les sanglots coulant,
Sur
la fontaine secrète des blessures d’antan.
Conscience
frustrée s’étant trop empressée,
Arpente
le miroir doré des promesses brisées.
Découvre
le génie divin qui réside en elle,
Hisse
les lambeaux dans l’antre de la belle.
L’être
renaît dans ses combats intérieurs,
Sourit
à l’univers dans un élan de bonheur,
Surmonte
sa peur du néant sans le redouter,
Libère
sa crainte cloîtrée dans un corps usé.
Survivre
à l’âpre ivresse suspendue au désir,
De
notre unique regard l’immensité
doit s’ouvrir,
Et
porter sa mélancolie plus loin que l’oasis,
Pour
voir couler la joie dans les veines
d’ Isis.
Dans
cette force tranquille, l’esprit d’Orphée,
S’endort
en douceur dans les bras de Morphée,
Avec
un peu d’alchimie au pied de son lit,
Sur
une note d’espoir, il ressuscite la vie.
Corinne
1. alaise_breizh le 12-04-2010 à 19:46:37
j'ai eu le privilège de onnaitre corinne
sur un site de poèsie et je peux vous dire que ses écrits sont un vrai délice
merci à toi mon amie de nous faire partager tes textes.
Mon petit bouquet, à la couleur de l'amour
Quelques fleurs
à la main
Dans ce
contexte qui vient,
De ma tenue
changée
De mon
coeur embaumé,
S'ajoutera
un simple baiser
Sur ta
joue fraîche et sucrée,
Dans moins
d'une semaine
Ou je
compte
les jours,
Un roi
admirant sa reine,
La protéger
dans cet amour,
Quelques
fleurs à la main
A ton très
doux parfum,
De mon
visage vieillit
De ton
corps au paradis,
Dans
quelques
jours seulement
Nos mots
se mélangeront,
Puisse
faire durer ce temps
Rien n'est
trop beau pour une relation,
Romantique
et discret vers toi
Au
public,je
ne le montrerai pas,
Quelques
fleurs à la main
Puis ce
plaisir certain,
De faire
ta connaissance
Avec autant
d'aisance,
Dans cette
circonstance
Les jours
passent et j'y pense,
Rencontre
en abondance
Un bien
être en naissance,
Mais dans
cette effervescence
De ma part
il y aura patience.
Alaise_Breizh
1. Hatchepsout le 11-04-2010 à 20:39:43
On dit que le romantisme est perdu. Il suffit de chercher un peu.
Commentaires